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Re: Le devenir de Farnese

Posté : 18 juin 2017, 02:45
par Bladrak
Euh... Chuck Norris quand même pas! N'oublie pas pourquoi les 5 s'appellent les God Hand, ils ne sont que ses doigts. :lol:

Re: Le devenir de Farnese

Posté : 18 juin 2017, 09:15
par Itai
Excellent point que tu soulève là non, rien à voir avec Chuck Norris: qui est "Dieu" dans l'univers de Berserk? Est-il un être réel, avec des pouvoirs propres, ou une création de l'imaginaire humain (création qui a finit par s'incarner dans les 5 gugusses que nous connaissons)? Y a t-il un rapport entre lui et la fameuse "idea of evil"? Si oui, lequel? Bon ok, je suis pas dans le bon topic, c'est clair, mais si tu en as déjà un sous le coude (ainsi qu'une réponse parce que je pige pas personnellement), ça serait sympa :D

Re: Le devenir de Farnese

Posté : 18 juin 2017, 10:01
par Bladrak
Alors il y a bien un topic qui s'appelle "Idea ou l'idée du mal" mais la flemme de le ré-up. ^^

Quand les gens meurent, comme l'avait expliqué Flora ou Schierke, les âmes vont dans un endroit qui leur correspond. Le hic, c'est que certaines âmes n'acceptent pas leur sort, et/ou ne l'ont pas accepté de leur vivant. Ils veulent toujours savoir pourquoi ça ou ça leur arrive. Du coup, t'as un dépotoir à âmes en peines qui s'est créé, et à force que tout le monde se lamente, ce flot de "pourquoi" a créé la conscience commune appelée Idea. Ceci est ma théorie.

Idea n'est que la matérialisation de la recherche de la cause par les vivants et les morts. Après, je ne pense pas qu'il y ait un dieu, parce que sinon il serait le Dieu-mongol-SM sans pouvoir. Oui, tout dieu a besoin des hommes, et Idea lui chourave tout, alors si un dieu se laisse bouffer ses âmes et envahir la terre, c'est un monstre multi-trisomique ou le pire masochiste de l'histoire de la littérature (se faire emmancher par tous les humains de la création, faut en vouloir).

Re: Le devenir de Farnese

Posté : 19 juin 2017, 15:50
par bybsama
On lit beaucoup de chose ici!!!

Premièrement, la virilité est un caractère, une attitude, une façon de penser et d'agir. On peut être gay et viril, certes, mais ce ne sont pas des caractéristiques qui vont souvent de pairs. Dire l'inverse, c'est être plein de prejugés aussi.

Deuxièmement, je ne pense qu'idea soit Dieu. A priori, Dieu, en tant que volonté créatrice, est hors du monde. Il est donc impossible de le rencontrer puisqu'il precede meme à l'existence du monde.
J'ai plus perçu Idea comme l'être à la croisée des mondes, des dimensions de l'univers de Berserk. Un être supérieur, meme au GH, sur le plan conceptuel, représentant le flot métaphysique qui constitue l'univers.
Les GH eux, sont des être supérieurs, rois de la dimension des enfers, mais pas des Dieux au sens "omniscient", comme la remarque de Slan pendant l'éclipse l'illustre très bien.

Sinon je rejoins la position qui consiste à voir Griffith comme aséxué. La raison pour laquelle Miura nous parle de sa prostitution, c'est justement pour nous montrer que rien n'arrête Griffith, qu'il est dévoué corps et ame à son rêve, et c'est une part importante de son charisme: tout sacrifié pour son rêve, jusqu'à sa propre dignité.

Re: Le devenir de Farnese

Posté : 19 juin 2017, 17:42
par Pipix
Je suppose que tu veux dire "asexuel" Bybsama, et non asexué. Parce que je pense que Griff est bien sexué. XD
Oui bon je sais, à chaque fois qu'il est à poil il a une b*** invisible, mais bon. Merci la censure. Image

Et pour ce que je connais des gays et de la culture gay (vraiment gay je veux dire, pas ce qui concerne les fantasmes féminins) ben si, c'est très souvent de pair avec l'idée qu'on se fait de la virilité.
Mais on est encore influencé par la société qui sous entend que l'homosexualité est une perte de virilité en soi et par les clichés qui sont véhiculé à la télévision, au cinéma ect...

Et pour Idea, je pense qu'il est Dieu tout simplement parce que les hommes veulent qu'il le soit. Comme il le dit, il est le Dieu désiré.

Re: Le devenir de Farnese

Posté : 03 août 2017, 23:55
par bgoode
et si Guts remonte le temps pour pas croiser Griffith (ou le vaincre gravement sans le tuer)