J'invoque Chaherit pour en discuter (et toute autre personne l'ayant lu).
Mon avis personnel (spoilers sur le scénario, ne cliquez pas si vous ne voulez pas connaître la suite) :
Franchement, le manga donne un arrière goût de déjà vu. L'avantage de ce tome, c'est le retour de "l'enfant lune". Y a franchement pas grand chose à dire dessus. Les pirates sont lourds, Perso j'ai lu les 7 premiers chapitres du tome 37, y a un réel fossé entre les deux, surtout au niveau du scénario. Ce tome 36 est intégralement orienté combat. Par contre, une bonne mention pour Isma et l'arrivée des sirènes. Quand au dieu de la mer, il a un côté Sin de FF X et l'apôtre transcendé que Griffith a combattu. Mais en moins causant dirons nous... Isidro seble être de plus en plus en forme au fil des tomes, et chaque personnage trouve sa place. Personnellement je n'ai aps vu de surprise Chaerith, faudra que tu m'expliques.
Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.
Ah cool un compagnon =D
Comme on peut se la péter en discutant que en balise Spoiler, on doit avoir l'air trop mystérieux.
Eh bien la surprise à mon sens c'était justement l'apparition du Moond Child. Je m'attendais tellement à un tome de remplissage comme celui des crocodiles (ou le précédent) que je ne m'attendais pas à la moindre intervention d'un élément scénaristique majeur. Encore que quand on y repense le Moond Child était également là lors des crocodiles, c'est peut être un sauveur de tome
Sinon je trouve aussi, comme dans le tome précédent, les pirates imbuvables. C'est bien simple à aucun moment ils ne sont inquiétants puisque 100% de leurs répliques sont des gags (effectivement très lourds en sus).
Le passage qui m'a interloqué, et qui m'a fait penser à Dragon Ball Z, c'est bien sur la descente dans l'organisme du Sea God Oo Exactement comme quand Goku et Vegeta s'immiscent dans l'estomac de Bou, ils cherchent à atteindre un lieu précis de son anatomie tout en se battant contre les parasites de son organisme. J'ai trouvé le passage esthétiquement parlant très sympa : les plans dans l'estomac avec les coulées d'acide, et surtout les gardiens du coeur m'ont fait assez flipper, m'ai j'ai très peur des trucs sous-marins aussi
Mais je n'arrive toujours pas à me décider si j'aime bien ce passage ou si je le trouve too much. Par exemple, la confiance avec laquelle Guts s'enfonce là-dedans et surtout ses connaissances anatomiques qui lui permettent de créer un appel d'air puissant... j'ai des doutes ! J'ai peur que Miura soit allé trop loin.
Mais je pense que c'est le but et qu'on est face à un nouveau passage démonstratif : à chaque modification du monde (après l'Eclipse, après l'effondrement du Seuil) Miura a pris le temps d'illustrer pendant au moins un tome les nouvelles "règles" de son monde. Ici on est encore dans l'explication de Fantasia, et le message est clair : tout est possible. Exit la Dark Fantasy distillée, on rentre dans le "merveilleux" à foison. J'ai bon espoir qu'une fois ce postulat terminé on avance à nouveau !
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Ce n'est pas parce que j'ai écrit le post ci-dessus qu'il contient du sarcasme ou qu'il est destiné à faire du mal à un innocent.
Je ne pense pas que Miura se soit inspiré de DBZ, ce genre d'endroit, on le retrouve même dans le jeu Devil May Cry, un jeu bourrin dark fantasy.
Ce tome 36 est un peu mieux que celui des alligators, c'est vrai, mais n'apporte rien à l'histoire en lui même, il en découlera une constatation ou deux déjà narrées par le passé.
Concernant les pirates, ils ont leur utilité à chaque fois qu'ils apparaissent : donner un rôle d'antagonistes à la hauteur des nouveaux dans l'équipe. Isidro transcende son style de combat, Isma sort les griffes, et Christophe Colomb peut mettre son talent de capitaine pour nous faire une démonstration.
En gros, ils prennent leurs sens grâce aux personnages secondaires.
Le moonchild. Ah, le moonchild. Comme j'en sais trop, je ne peux t'en parler, à mon de faire une balise de spoiler dans ma balise de spoiler xD
Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.
Chaherit a écrit :Ah cool un compagnon =D
Comme on peut se la péter en discutant que en balise Spoiler, on doit avoir l'air trop mystérieux.
Eh bien la surprise à mon sens c'était justement l'apparition du Moond Child. Je m'attendais tellement à un tome de remplissage comme celui des crocodiles (ou le précédent) que je ne m'attendais pas à la moindre intervention d'un élément scénaristique majeur. Encore que quand on y repense le Moond Child était également là lors des crocodiles, c'est peut être un sauveur de tome
Sinon je trouve aussi, comme dans le tome précédent, les pirates imbuvables. C'est bien simple à aucun moment ils ne sont inquiétants puisque 100% de leurs répliques sont des gags (effectivement très lourds en sus).
Le passage qui m'a interloqué, et qui m'a fait penser à Dragon Ball Z, c'est bien sur la descente dans l'organisme du Sea God Oo Exactement comme quand Goku et Vegeta s'immiscent dans l'estomac de Bou, ils cherchent à atteindre un lieu précis de son anatomie tout en se battant contre les parasites de son organisme. J'ai trouvé le passage esthétiquement parlant très sympa : les plans dans l'estomac avec les coulées d'acide, et surtout les gardiens du coeur m'ont fait assez flipper, m'ai j'ai très peur des trucs sous-marins aussi
Mais je n'arrive toujours pas à me décider si j'aime bien ce passage ou si je le trouve too much. Par exemple, la confiance avec laquelle Guts s'enfonce là-dedans et surtout ses connaissances anatomiques qui lui permettent de créer un appel d'air puissant... j'ai des doutes ! J'ai peur que Miura soit allé trop loin.
Mais je pense que c'est le but et qu'on est face à un nouveau passage démonstratif : à chaque modification du monde (après l'Eclipse, après l'effondrement du Seuil) Miura a pris le temps d'illustrer pendant au moins un tome les nouvelles "règles" de son monde. Ici on est encore dans l'explication de Fantasia, et le message est clair : tout est possible. Exit la Dark Fantasy distillée, on rentre dans le "merveilleux" à foison. J'ai bon espoir qu'une fois ce postulat terminé on avance à nouveau !