Un roman Berserk : The Flame Dragon Knight

[Gohan]

Pour Balzac : euh non pas tout le monde, non. Il est immense, encore plus raconté par Zweig. Sa comédie-monde est tout simplement dantesque.

[Pipix]

A la fac j'avais une prof qui fantasmait à mort sur Balzac, à chaque cours elle fangirlisait sur lui, c'était flippant.
Je m'étais faite démonter le jour où j'ai dis que c'était Baudelaire qui était le premier à définir le concept de modernité. ToT Mais non c'est Balzac en fait, ce grand visionnaire >_____>
Elle m'a tellement saoulée avec que j'ai jamais rien pu lire de lui d'ailleurs. XD

[Yhtill]

Bah perso, après avoir vu les retours négatifs, j'avais été vachement refroidis à l'idée de le lire et la semaine dernière, je me suis dis que allez, ce serait dommage de l'avoir acheter pour rien.
Et bah franchement je comprends pas la haine sur ce roman. Franchement, ça se lit tout seul, ça raconte l'histoire de Grunbeld de manière intéressante. Perso j'ai trouvé la lecture plutôt sympathique, malgré l'à priori négatif.

[Pipix]

En vrai ça passe, oui. Je trouve pas le scénario mauvais en soi, et c'est toujours sympa d'avoir une nouvelle histoire qui se passe dans l'univers de Berserk.

Par contre le sacrifice c'est juste une grosse blague...

Deux sacrifiés sur trois étaient de base à l'agonie, quel est l'intérêt ? Il leur rends même service en les tuant, vu que Sigur aurait été violé avant de crever (et Bénédicte aussi sûrement). Où est l'horreur, où est la tragédie de devoir mettre à morts les personnes qui comptent le plus à ses yeux ? Je l'ai pas senti perso.
Ça rend Grunbeld beaucoup trop clean pour être vrai, sa psychologie n'est pas du tout intéressante. Je trouve que Edvard avait beaucoup plus un profil de transcendé en devenir XD

[Yhtill]

Ça rend Grunbeld beaucoup trop clean pour être vrai, sa psychologie n'est pas du tout intéressante. Je trouve que Edvard avait beaucoup plus un profil de transcendé en devenir XD

Oui, c'est vrai que vu comme-ça, c'est compréhensible.
Après, je ne l'ai pas ressenti de cette manière. C'est vrai que j'ai plus ressenti Grunbeld, comme victime des événements. Ce qui fait que les apôtres, ne sont pas tous nécessairement mauvais et égoïstes. Et pour le coup, je le voyais bien comme une sorte de Zodd bis, alors ça colle plutôt bien à la vision que j'en avais auparavant.
Après, c'est sûr que la fin est expédiée et que

le sacrifice est carrément trop facile

. Mais j'ai quand même apprécié. Pas le roman le plus mémorable de ma vie, mais un moment plutôt sympathique.